Les principes de l’hypnothérapie
Le terme « hypnose » vient du mot grec « hupnoein » qui signifie endormir. L’hypnose fait référence à un état modifié de conscience également appelé « transe », au cours duquel l’individu est entre l’état de veille et de sommeil. Cet état est naturel et expérimenté chaque jour : lorsqu’on lit un bon livre, qu’on regarde un film qui nous transporte, qu’on regarde un feu attentivement, qu’on perd temporairement la notion du temps au volant d’une voiture ou, tout simplement, lorsqu’on est “dans la lune ».
La thérapie par l’hypnose vise à rendre accessibles au sujet des ressources peu exploitées de son cerveau à l’aide de suggestions réalisées durant cet état modifié de conscience.
La plupart des théories psychologiques considèrent que de nombreux problèmes personnels et relationnels ont leur source dans l’inconscient. C’est là que sont stockées des centaines de milliers de données qui contrôlent une grande partie de nos existences.
L’hypnothérapeute invite donc l’inconscient du sujet à se défaire de ses idées nuisibles et à les remplacer par des idées plus justes ou qui correspondent mieux à ses valeurs. En hypnose, la motivation du sujet est primordiale. Sans ça, les suggestions mentales n’auront aucun effet.
Il existe deux forme principales d’hypnose : La classique, celle du spectacle et l’Ericksonienne, celle de la médecine.
J’ai été formé, pour ma part, à « La Nouvelle Hypnose« . Cette forme d’hypnose utilise certains outils de l’hypnose Ericksonienne, ainsi que certains éléments issus de la PNL.